Sur ton livre étaient tous inscrits les jours qui m’étaient destinés.
Psaume 139.16
En même temps, le psalmiste s’effraie et s’émerveille de la toute science de Dieu.
Rien ni personne ne lui échappe. Tout ce j’ai cru inattendu, les combats qu’il m’a fallu mener, les épreuves qui durent être surmontées, les deuils, les problèmes de santé, de mécanique ou d’électronique, les déceptions, les incompréhensions de 2019, mon Dieu les connaissait à l’avance et il en avait prévu toutes les solutions, même si certaines ne sont pas encore manifestes. Il a été là, fidèle, pour encourager, consoler, renouveler… Non ?
Aurais-je donc eu raison de commencer l’année en me tracassant, le cœur alourdi d’inquiétudes fondées ou non ?
Mais, par contre, j’aurais tort de la finir sans le louer, sans compter ses bienfaits ; pour le moins ceux que j’ai reconnus, ceux que ma mémoire peut restituer à mon souvenir.
Oui, mon âme, bénis l’Éternel et n’oublie aucun de ses bienfaits, en commençant par le pardon qu’il n’a cessé de t’accorder toutes les fois ou tel détail de ta vie ne s’accordait pas à sa volonté. Bénissons-le, confus de nos manquements, mais forts de la certitude qu’alors même que nous sommes infidèles, il demeure fidèle, lui qui ne peut se renier lui-même. ¹
Richard Doulière
1 2 Timothée 2.13
__________________
Lecture proposée : Psaume 139, versets 13 à 18.