Lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous.
Romains 5.8
Un épisode de la guerre franco-anglaise de Cent Ans a marqué durablement les esprits. L’armée de chevaliers de Philippe VI est écrasée à Crécy en 1347. Alors le vainqueur Édouard III, roi d’Angleterre, décide de massacrer tous les Calaisiens. Finalement, il se ravise et exige seulement que six habitants choisis parmi les plus riches se présentent à lui, corde au cou, pour lui remettre les clés de la ville et être pendus.
Au moment où la sentence allait être exécutée, la reine supplia le roi d’épargner ces hommes courageux. Ils furent effectivement libérés.
Payer pour les autres… Ces six hommes étaient-ils prêts à le faire ? Peut-être avaient-ils été choisis contre leur gré…
Un épisode autrement plus important a marqué l’histoire de l’humanité, il y a 2000 ans. Ce n’était pas seulement une ville qu’il fallait sauver, mais l’humanité entière. Il s’agissait pour Dieu, le Créateur, de d’épargner celle-ci malgré sa rébellion contre son autorité. Et ce salut devait allier sa justice et son amour.
Son Fils Jésus-Christ était, lui, volontaire pour accomplir cette mission historique. Il a accepté d’être mis à mort, par crucifixion, à la place de tous les humains, du passé, du présent et du futur… Tous ceux qui acceptent cette substitution se voient pardonnés et réconciliés avec Dieu.
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Charles Rick
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Lecture proposée : 1ère lettre de Pierre, chapitre 3, verset 18.