Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. Jean 3.16
Avec un ami étranger qui ne possédait pas encore très bien notre belle langue française, nous nous promenions dans la campagne. Au détour du chemin nous avons vu un panneau sur lequel étaient inscrits ces mots : « Quiconque franchit cette clôture s’expose a des poursuites. » Mon ami n’avait aucune notion de ce que signifiait ce petit mot “quiconque”. Il ne se doutait pas qu’il le concernait lui aussi personnellement, même dans un pays étranger. Il l’aurait appris bien vite à ses dépens. Quiconque c’était aussi lui ! QUICONQUE c’est vous, c’est moi, c’est chacun individuellement. Un petit mot mis pour “toute personne qui”, “qui que ce soit”,… donc moi !
Dans ce verset de l’évangile ce petit mot représente tout à la fois une merveilleuse invitation et une merveilleuse promesse pour chacun, sans aucune réserve de nationalité, de race ou autre catégorie humaine que la nôtre. Dieu assure que quiconque croit en lui, reçoit gratuitement son pardon et la vie éternelle. Personne n’est exclu de la grâce de Dieu ! Dieu ne fait pas de favoritisme. Chacun peut connaître la réalisation des promesses de Dieu dans sa vie. La seule condition c’est de croire que ce petit mot “QUICONQUE” le concerne et d’accepter l’offre de Dieu.
Personne ne pourra dire, le jour où Dieu jugera le monde, qu’il a été écarté du salut pour une raison autre que son refus de la grâce de Dieu.
Jack Mouyon
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Lecture proposée : Livre des Nombres, chapitre 21, versets 4 à 9.