Non, la main de l’Éternel n’est pas trop courte pour sauver, ni son oreille trop dure pour entendre. Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu. Ésaïe 59.1
Ce 26 décembre, il règne sur Toulouse un brouillard « à couper au couteau ». C’est comme s’il faisait nuit en plein jour. Nous décidons alors d’effectuer une virée dans les Pyrénées. Dans l’ascension d’un col ariégeois, nous débouchons en pleine lumière, sous un ciel d’un bleu limpide, sans un seul nuage. Nous escaladons le pic tout proche qui est à une altitude de 1 200 m environ. Parvenu au sommet, je contemple les montagnes qui m’entourent, puis les plaines que les nuages recouvrent comme une chape de plomb.
Selon la Parole de Dieu, ce qui nous sépare et nous éloigne de Dieu est comparable à cette épaisse couche de nuages qui bouche l’horizon des hommes et des femmes sur lesquels elle pèse. Cette même Parole de Dieu nous transmet une bonne nouvelle : Jésus, est venu nous apporter sa Lumière. La nuit n’est plus une fatalité.
Nous pouvons demander puis recevoir cette lumière qui triomphe des ténèbres les plus épaisses en regardant à la croix où Jésus a vaincu les ténèbres et la mort. La lumière de Jésus-Christ triomphe de nos ténèbres intérieures, elle nous conduit à la vie éternelle où la nuit n’existera plus.
Il est de notre responsabilité de demander à Jésus sa Lumière dans notre vie, afin que toute notre personne – corps, âme et esprit – reçoive sa vie à lui.
Francis Praline
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Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 4, versets 12 à 17.