Si Dieu n’était pas bon ?

Ô Éternel, mon Dieu, que d’œuvres merveilleuses tu as faites pour nous, et combien de projets ! Nul n’est semblable à toi.
Psaume 40.6

Le livre des Psaumes est, par excellence, celui du dialogue entre Dieu et l’homme. Or, à lui seul, il contient 123 fois le mot hébreu “chesed” que nous traduisons “bonté”. Après s’être dit miséricordieux et compatissant, Dieu s’est présenté comme étant riche en bonté, plus littéralement aux bontés nombreuses. En cela, il présente la caractéristique fondamentale révélée dans ses interventions journalières.

Nous avons de multiples raisons de célébrer la bonté de Dieu. Parmi elles, le pardon, les délivrances, les prévenances, la sécurité qu’Il garantit, les merveilles et les projets bienveillants qu’Il multiplie. Nous ne saurions en présenter une liste exhaustive !

Comment détaillerions-nous tout ce que nous expérimentons au long de notre vie et qui représente les signes de sa bonté, parmi lesquels la beauté de la création : la variété infinie des sons, des couleurs, des paysages et des saveurs ? Le chrétien, a fortiori, devrait mentionner qu’il trouve en Dieu, non seulement le créateur puissant et intelligent, mais celui qui pardonne, qui accueille, l’ami, le conseiller, le libérateur et, plus que tout, le Père au cœur de mère !

« Que deviendrais-je, s’écriait David, si je n’avais pas l’assurance de voir la bonté de l’Éternel au pays des vivants ? »1 Que deviendrions-nous, en effet ? Mais, Dieu soit béni, sa bonté subsiste à toujours.2

Richard Doulière

1 Psaume 27.13     2 Psaume 52.3

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Lecture proposée : Psaume 40, versets 1 à 6 et 11 à 12.

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