Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous… je ne croirai pas.
Jean 20.25
En passant devant la devanture d’un grand magasin mon regard fut attiré par une publicité qui disait : « Vente spéciale : 3 paires de bas pour dames – 1 euro ».
Entendant un bruit et une discussion animée venant du magasin, je m’arrêtai devant l’entrée principale. La minute suivante, une vieille dame suivie par deux vendeuses en sortit. Dans ses mains, elle tenait des bas fins en nylon.
Arrivée sur le trottoir, elle ouvrit le paquet et se mit à examiner les bas, un à un, à la lumière du jour. Elle regardait s’il n’y avait pas de mailles tirées ou de défauts. La vie lui avait appris à se méfier des “bonnes affaires”, et elle mettait en pratique le vieux dicton « Je crois si je vois ».
Lorsqu’on a à faire à des offres et des promesses humaines, il est en effet sage d’être vigilant. Par contre, à Dieu, nous pouvons lui faire confiance sans hésiter. Thomas, le disciple de Jésus, ne pouvait pas croire ni accepter que son maître fût ressuscité. Pour répondre à sa réticence à accepter quelque chose qu’il ne pouvait ni voir ni expliquer, Jésus lui apparaît et dit : Parce que tu m’as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru !1
Votre incrédulité vous empêche-t-elle de croire en Dieu et d’expérimenter Sa bénédiction ?
Silvano Perotti
1 Jean 20.29
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Lecture proposée : Actes des Apôtres, chapitre 12, versets 12 à 16.