C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude.
Galates 5.1
Avez-vous déjà bien regardé une pièce de monnaie française, une ancienne pièce d’un franc, par exemple ? Le mot d’ordre y était bien indiqué : « Liberté. Égalité. Fraternité. » Mais avez-vous bien lu ?
Il fallait lire : Liberté, point. Égalité, point. Fraternité, point. Étonnamment vrai !
Dans tous les pays gérés sous la domination de l’homme, les défauts de l’injustice, de l’égoïsme et de la discrimination apparaissent immédiatement. Même dans notre pays de « liberté », la vraie liberté n’existe pas.
La justice n’est pas de ce monde, parce qu’il y a toujours quelqu’un qui veut imposer sa volonté à d’autres. L’égalité n’existe pas non plus, car il y a toujours un dominant et un dominé. La fraternité s’arrête là où commence l’égoïsme et l’intérêt personnel !
Où se trouve alors la vraie liberté, qui est le critère de référence de la vraie fraternité ? Qui est le juste juge qui domine toute situation ?
La réponse ne se trouve pas sur Terre, mais dans le cœur de l’homme qui espère en Dieu et qui cherche à mieux le connaître en lisant la Bible.
Bernard Doise
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Lecture proposée : Lettre de Jacques, chapitre 1, versets 17 à 25.