Ce sont nos souffrances qu’il a portées.
Ésaïe 53.4

Rien n’est impossible à Dieu
Sa main percée est remplie d’amour
Ses pieds cloués resteront pour toujours
La marque de Sa volonté d’aller jusqu’au bout :
Porter l’infâme bois pour nous sauver toi et moi.
Son dos courbé a pris nos péchés
Son sang versé nous a rachetés
Oh quel grand prix payé pour nous accorder la vraie paix
C’est pourquoi un chant de joie résonne dans nos cœurs.

Ce sont nos souffrances que Jésus porta
Ce sont nos douleurs dont Il se chargea.
Une couronne d’épines sur Son visage blême
Lacéré de coups de fouet, de haine.
Il serra le bois pour ouvrir la voie
D’une vie nouvelle à Golgotha.
Par obéissance Il prit ce chemin
De larmes intenses pour notre bien.

Alors que j’avais progressivement retrouvé une mobilité suffisante pour jouer du piano et chanter, j’ai écrit ce chant en avril 2016, durant la convalescence de mon cancer du sein. Par Sa grâce, le Seigneur a changé mon désert en une oasis d’espérance !

Quelle est aujourd’hui votre terre aride ? Dans quel domaine de votre vie les sources sont-elles asséchées ? En ce vendredi saint, venez et voyez le chemin de souffrance que notre Dieu a gravi pour finalement nous ouvrir les écluses de tout son amour, son espérance et sa force. Il change le désert en étang et la terre aride en sources d’eau. (Psaume 107.35).

Marie-Louise Dugleux

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Lecture proposée :
Lettre aux Romains, chapitre 5, versets 5 à 11.

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