Ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître.
Romains 1.19
Je joue au jeu SOS Ouistiti avec le petit Loïs. Sur une structure-arbre, on a déversé toute une flopée de petits singes, qui restent accrochés aux tiges plastiques croisées qui figurent les branches. À tour de rôle, chaque joueur retire une tige, et ramasse les singes tombés. Loïs jubile : « J’ai gagné ! J’ai plus de singes que toi ! » L’ennui, c’est que la règle du jeu stipule qu’on fasse tomber… le moins de singes possible !
Je pense à trois règles du jeu imaginées par beaucoup pour mener leur vie devant Dieu à leur guise :
Règle 1 : On peut croire en n’importe quelle religion, pourvu qu’on soit sincère !
Règle 2 : Si on fait du bien et pas trop de mal, le bon Dieu pardonnera, nous irons tous au paradis !
Règle 3 : Dieu sauve par grâce. Il ne regarde pas à notre moralité ou notre immoralité.
Que répond la Bible ?
1. On peut être sincèrement dans l’erreur (comme Loïs), et il y a une seule vérité, Jésus-Christ reçu comme Sauveur et Seigneur¹ !
2. Oui, Dieu est bon, mais pas bonasse. Sa sainteté ne peut tolérer le mal, et rien d’autre que le sacrifice de Christ reçu par la foi ne nous ouvre le paradis² !
3. Mais attention, Dieu est très attentif à l’écho que nous lui renvoyons de son œuvre en nous³ !
Alors, pour gagner, respectons sa règle du jeu à lui !
Claude Schneider
¹ 1 Timothée 2.3-5
² Romains 5.6-11
³ Actes des Apôtres 10.1-3
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Lecture proposée :
textes cités dans les notes.