Un virus qui détruit

Dites à ceux qui ont le cœur troublé : « Prenez courage, ne craignez point ; voici votre Dieu, la vengeance viendra. »
Ésaïe 35.4

Plus dangereux que la grippe porcine, le découragement amoindrit nos défenses spirituelles puis finit par nous tuer à petit feu, lentement mais sûrement. Où aller pour ne pas être soi-même contaminé ? Où serai-je guéri de cette maladie si je ne peux pas, par mes propres forces, éliminer ce virus de mon être profond ?

Le lieu de guérison est la Croix sur laquelle Jésus a porté mes souffrances, mes maladies afin que j’en sois délivré. Le corps de Jésus mort pour moi a été enterré, mais au matin du 3ème jour la vie a triomphé de la mort. Jésus, le Seigneur, est vivant. Mais mon découragement aussi est vaincu : il est resté “au fond du tombeau”.

Mon cheminement terrestre n’est pas terminé. Mais je connais maintenant le moyen de ne pas être saisi par le découragement : ne pas oublier celui qui est mort et ressuscité pour moi et me confier en lui. Dieu me prépare une place dans son Royaume où toute souffrance sera bannie, comme il la prépare à chaque personne qui aura cru au message libérateur de l’Évangile, la Bonne Nouvelle du Christ vivant.

Francis Praline

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Lecture proposée : 2ème lettre aux Thessaloniciens, chapitre 1, versets 1 à 10.

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