Les cieux et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas.
Luc 21.32
Lorsque nous étions jeunes adultes, nous sommes arrivés dans cette petite ville, accompagnés de nos deux premiers enfants. Nous louions une maison tranquille, près de la rivière.
Au fil du temps, notre famille s’agrandit, et une maison plus grande fut nécessaire. Les années n’effacèrent pas facilement les souvenirs heureux de nos débuts comme parents. Nos enfants s’attachent également à ces premiers lieux, avec les camarades, les découvertes diverses et aussi les rencontres familiales et fraternelles.
Quelle surprise de constater, quatre décennies plus tard, la disparition récente de cette maison marquante pour nous, entourée à l ‘époque de voisins calmes ! Un récent propriétaire avait décidé de raser totalement cette construction ancienne qui ne convenait plus à ses vastes acquis. «Notre» maison a donc disparu au milieu des arbres feuillus…
Tristesse, surprise et confirmation pour nous. Tout passe dit Jésus (voir verset d’en-tête de ce feuillet). Nos vies terrestres, les saisons, les cieux, l’univers, la terre disparaitront. Sa Parole reste, ainsi que ce qu’elle promet : la vie spirituelle, la vie avec Christ, la vie éternelle, son amour pour le pécheur.
Ce cantique nous rassure : «tout doit sur terre mourir un jour, mais de Jésus l’amour dure toujours».
Saisissons cet amour pendant qu’il en est temps… (voir lecture proposée).
Bernard Fourmont
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Lecture proposée : 2ème lettre de Pierre, chapitre 3,
verset 5 à 10.