Le serpent dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : « Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? »
Genèse 3.1
Franklin Roosevelt a dit : « La seule limite à notre épanouissement de demain sera nos doutes d’aujourd’hui ». C’est Ève qui douta la première de la bonté de Dieu. Le doute stoppa alors l’épanouissement des êtres humains.
Que de fois nous sommes exposés à la même tentation ! Satan, le serpent (terme pouvant être traduit par « le brillant ») suggéra qu’un Dieu bon n’empêcherait pas l’homme d’en savoir autant que lui. Aujourd’hui, il fait douter que Dieu puisse s’intéresser à l’infime créature que nous sommes, qu’il puisse apporter une réponse à nos problèmes ou nous libérer de nos chaînes…
Si Dieu était bon, nous interdirait-il de satisfaire nos passions, de jouir de ce qui nous passionne tant ? Nous brimerait-il par des interdictions ? Hélas, souvent à notre insu, tombant dans le piège, nous doutons des paroles, des promesses, des intentions divines.
Comme pour Adam et Ève, c’est cela qui, en réalité, nous empêche de nous épanouir.
Le contraire du doute, c’est la confiance, la foi. C’est elle qui est source d’assurance, d’engagement, d’épanouissement et de succès. La psychologie le dit, mais ne l’a pas inventé. Et c’est la foi en Dieu qui donne sens à toutes les autres formes de confiance.
Ne nous laissons pas paralyser par nos doutes. Plaçons notre confiance en Dieu, qui en est digne.
Richard Doulière
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Lecture proposée : Livre de la Genèse, chapitre 3,
versets 1 à 8.