Le bon chemin

Je suis le chemin, la vérité et la vie.
Jean 14.6

Je fais une balade en forêt. Parvenu à un carrefour, je ne retrouve plus le chemin balisé sur lequel je marchais. Alors commence la traversée d’un terrain en pente raide, rempli de broussailles, de ronces, d’arbres couchés…

Je dois grimper sur les troncs, redescendre ; j’avance péniblement en m’assurant à l’aide d’un bâton, afin d’éviter la chute, et peut-être une fracture.

Au bout d’un temps qui m’a paru bien long, je retrouve un sentier praticable.

Cette marche me fait penser à un autre chemin que la Parole de Dieu nous révèle : celui qui conduit vers Dieu le Père celui ou celle qui y marche. Il est décrit comme étroit et resserré ¹, difficile à trouver en comparaison de l’autoroute de la perdition. Par contre, il est balisé par deux repères infaillibles : la croix où Jésus est mort, puis le tombeau vide qui témoigne de sa résurrection.

C’est lui, le Fils de Dieu, qui se présente comme le chemin qui mène à la vie. L’apôtre Pierre explique à ses auditeurs : Il n’y a de salut en aucun autre, car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.²

Vous aussi, qui que vous soyez, vous êtes concerné(e) par cette invitation de Pierre : Sauvez-vous de cette génération perverse.³

Francis Praline

¹ Matthieu 7.14
² Actes 4.12
³ Actes 2.40

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Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 14,
versets 1 à 7.