Ils sont donc inexcusables, puisqu’ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu et ne lui ont point rendu grâces.
Romains 1.20-21
Des excuses, n’en trouverez guère! Ralph Waldo Emerson (1803 – 1882) disait que « les excuses remplacent toujours les progrès ». Il y a plus : elles tuent les initiatives, endorment les énergies, encouragent la paresse ou les « laisser faire» ou « laisser dire ». Elles ont pourtant l’air d’avoir raison : « Je ne m’en sens pas capable», «On ne peut pas secourir tout le monde», «Ce n’est qu’une goutte d’eau dans la mer », «Tout le monde le fait», «Cela ne fait de mal à personne», etc.
Et quand il faudra rendre des comptes à Dieu et qu’Il nous demandera pourquoi nous avons négligé la Bible, sa « Lettre d’Amour », que vaudront les excuses : « Je n’avais pas le temps », « Je pensais que c’étaient des contes de vieille femme», «Mes parents étaient libres-penseurs », «On se serait moqué de moi », « Je ne crois que ce que je vois », etc. ?
Ceux au sujet desquels Paul écrivait : Ils sont donc inexcusables, devront admettre que, pour découvrir les preuves qu’ils disaient absentes, il leur aurait suffi d’ouvrir les yeux et les oreilles, et de faire un peu de place au bon sens. Ils auraient alors glorifié Dieu et lui auraient rendu grâces pour la diversité, la beauté inimaginables des infiniment petit et grand, sans attendre follement qu’il soit trop tard! Aujourd’hui prenons la peine de nous demander ce que valent vraiment nos excuses!
Richard Doulière