Dieu nous a fait naître à une vie nouvelle en relevant Jésus-Christ de la mort. Nous avons ainsi une espérance vivante.
1 Pierre 1.3
Un vendredi soir, à Londres, je trouve un havre de paix au sein de l’agitation de la ville. Une chapelle, épargnée par les promoteurs, oubliée par le temps. Des statuettes de têtes couronnées en ornent l’entrée. La pollution urbaine a gommé leurs traits.
L’église est fermée, mais les tombes sont ouvertes : une bonne trentaine de sarcophages munis de leur couvercle posé de guingois. Ils sont tous identiques. Impossible de deviner l’origine sociale de l’ancien locataire : devant la mort, on est tous égaux !
Respectueusement, à la faveur des lampadaires, j’essaie de déchiffrer des épitaphes. Une formule revient souvent : « Dans l’espérance de la résurrection ». N’était-ce qu’une formule pour ces stars d’une autre époque ? Dieu seul le sait.
Quant à moi, j’ai mis ma foi dans le Christ, mort et ressuscité. Je sais qu’un jour, je mourrai. Mais aussi qu’au Jour dernier, je ressusciterai pour le rejoindre. « Fort d’une pareille espérance, je suis plein d’assurance1 ». Amis, ne prenez pas de repos avant de faire rimer ces deux mots !1
Francis Schneider
1 2 Corinthiens 3.12
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Lecture proposée : 1ère lettre aux Thessaloniciens, chapitre 4, versets 13 à 18.