Si nous confessons nos péchés… il est fidèle pour nous les pardonner : 1 Jean 1.9
Un jour en rentrant à la maison, que vois-je ? Un gros trou rond dans la porte vitrée du salon. J’avais pourtant formellement interdit aux enfants de jouer au ballon dans le corridor.
Il me fallait découvrir le coupable, bien que me doutant de qui il s’agissait. J’ai aligné les trois enfants et leur ai demandé : ” Qui a fait cela ? ” Un long silence embarrassé. J’ai réitéré ma question sans plus de succès. ” Si le coupable n’a pas le courage de l’avouer, je serais dans l’obligation de vous punir tous les trois ; et ce ne sera pas juste pour les innocents. Alors… avouez. “
Après un nouveau long silence, l’un d’eux a pointé du doigt le cadet : ” Papa, je confesse… il l’a fait “.
Au lieu d’une confession, c’était une accusation.
Il nous est toujours plus facile d’accuser autrui que d’avouer notre propre péché. Le dissimuler ou accuser l’autre ne règle pas le problème et n’apporte pas la paix du cœur.
Mais nous avons un Dieu qui pardonne. Si nous demandons pardon pour notre faute, le péché qui a brisé notre relation avec le Père céleste est effacé et nous avons à nouveau une libre entrée auprès de Dieu.
Seigneur donne-moi le courage de reconnaître mes péchés, et ainsi d’être pleinement pardonné !
Témoignage de S. Perotti, adapté par Charles Rick
Lecture proposée : Psaume 32, versets 1 à 5.