Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez le repos pour vos âmes.
Matthieu 11.29
Shakespeare écrit : « Dès que nous naissons, nous pleurons d’être venus sur ce grand théâtre de fous. » Et Albert Camus écrit : « Les hommes pleurent parce que les choses ne sont pas ce qu’elles devraient être. » Même dans un confort matériel, nous ressentons des formes d’insatisfactions intérieures. Et quand bien même, les plus remarquables d’entre nous possèderaient le pouvoir sur les autres, ils s’apercevraient qu’ils n’en ont aucun sur leur propre vie, sur sa durée et sa profondeur. Je pense que l’esprit humain porte la trace d’un Dieu absent et que, du coup, l’évangile de Christ porte bien son nom de “Bonne nouvelle” en proposant à chacun de l’inviter en son cœur. Finalement, privés de Dieu, ce sentiment de vide expliquerait pourquoi les hommes n’atteignent pas la plénitude qu’ils souhaitent ! Dans le récit des évangiles, nous découvrons un Seigneur que nos cœurs attendaient inconsciemment. Jésus porte en lui la réponse à notre besoin universel de plénitude et d’éternité. Il nous propose tout d’abord un soulagement d’âme par rapport à nos fautes et errances de vie. Ensuite, il nous apporte la satisfaction d’âme dans la réconciliation effectuée. Jésus-Christ est celui qui peut étancher votre soif de paix et de sens dans votre existence.
Dominique Moreau
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Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 11, versets 25 à 30.