Dieu fait toute chose belle en son temps ; même il a mis dans leur cœur la pensée de l’éternité, bien que l’homme ne puisse pas saisir l’œuvre que Dieu fait, du commencement jusqu’à la fin.
Ecclésiaste 3.11
Les études scientifiques ont permis d’explorer l’infiniment grand et de révéler d’innombrables galaxies faites d’associations d’étoiles, des milliards de soleils accompagnés de planètes gravitationnelles. Elles ont également permis d’explorer l’infiniment petit et de découvrir que toute la Création est faite d’associations d’atomes et de pulsations, de noyaux accompagnés d’électrons gravitationnels. Soit, une similitude étonnante de ces deux confins dimensionnels ! Une cohérence du cosmos qui souligne l’œuvre d’un architecte plutôt qu’un hasard improbable, ne croyez-vous pas ? Albert Einstein disait à ce propos : « Dieu ne joue pas aux dés ».
Et nous, au sein de cet univers, nous sommes des créatures uniques du vivant, puisque nous avons reçu la capacité et la conscience de nous y interroger. N’avons-nous pas quelque chose qui nous dit que notre vie, bien que biologiquement brève, a une finalité plus grande ? D’où vient cette pensée de l’éternité ? Ne serait-ce pas là, encore une fois, l’empreinte du Créateur, sa trace particulière en l’âme de chacun ? Assurément, toute la Création autour de nous et cette attente d’éternité nous font soupçonner l’existence de Dieu. La Bible répond à ce soupçon intérieur.
Dominique Moreau
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Lecture proposée : Actes des Apôtres, chapitre 17, versets 22 à 31.