C’est une parole certaine et entièrement digne d’être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs.
1 Timothée 1.15
Alors qu’elle visitait le Musée du Louvre et parcourait les longues galeries garnies de chefs-d’œuvre, cette dame arriva devant un tableau qui représentait Jésus-Christ sur la croix, en agonie.
« Mes yeux se sont attachés à Lui, dira-t-elle plus tard, et je crois qu’ils auraient pu y rester jusqu’à maintenant. Il me semblait que mon regard était comme rivé sur Lui. Pendant que je contemplais en silence cette divine figure et que je voyais l’amour rayonner de ses yeux mourants […] et le sang qui coulait de son côté percé, je me suis dit : Pourrais-je trop faire pour Lui ? Pourrais-je trop l’aimer ? »
Oui, les souffrances du Christ ont été réelles. Ce sont bien ses mains, ses pieds et son côté qui ont été percés. La croix a été réelle, et c’est l’agonie de la crucifixion qui a torturé cet homme juste, saint et parfait. Il a été abandonné de ses amis. Seul, crucifié entre deux brigands, souffrant, dévoré par la soif, écrasé par le poids de nos péchés, il a crié à son Dieu qui lui aussi l’a abandonné. Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, dira le prophète Ésaïe1.
Pourtant les hommes cherchent un moyen de salut plus facile, mais il n’en existe pas. Le salut ne se trouve pas dans leurs mérites, leur bonté, leurs souffrances ou la pratique de la religion.
C’est Jésus seul et Jésus crucifié qui peut vous apporter le salut.
Albert Nouguier
1 Ésaïe 53
__________________
Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 27, versets 27 à 31.