Méprises-tu les richesses de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité, ne reconnaissant pas que la bonté de Dieu te pousse à la repentance ?
Romains 2.4
Considérons ces deux vérités bibliques :
1. Dieu nous a créés avec tout ce qui nous entoure.
2. Il nous a tellement aimés qu’il a sacrifié son Fils pour le rachat de nos fautes.¹
Pouvons-nous alors rester sincèrement indifférents et sans reconnaissance envers Dieu ? Comprenons les richesses de sa bonté envers nous. Ne soyons pas ignorants du message de Christ. Lire un des quatre évangiles du Nouveau Testament nous apprend tellement sur Dieu et sur nous-mêmes ! Regardons plus loin que notre nombril. Ne vivons pas comme un hamster en cage qui court continuellement dans sa roue…
Soyons reconnaissants envers Dieu. Acquiesçons à sa bonté. La générosité de Dieu comprend sa création bienveillante qui apporte le nécessaire pour la vie. Et son amour envers nous, qui s’est manifesté dans la crucifixion volontaire de son Fils, devrait nous interpeller… « Pleurons donc nos fautes ; passons des ténèbres de l’ignorance au grand jour de la connaissance, de l’égarement à la raison, de l’intempérance à la tempérance, de l’injustice à la justice, de l’impiété à l’adoration du vrai Dieu », écrivait en 210, l’apologiste Clément d’Alexandrie.² Rougissons de toute ingratitude et insouciance envers Lui.
Dominique Moreau
¹ Jean 3.16 ² Protreptique, 10
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Lecture proposée : 1ère lettre de Jean, chapitre 1.