D’en haut, il me tend la main, il me saisit, il me retire des grandes eaux.
2 Samuel 22.17
Qui peut apprécier à sa juste valeur une main tendue ? Pour celui qui, imprudent, s’est aventuré dans des sables mouvants ou est en train de périr noyé, elle est synonyme de salut. Pour le coupable, tourmenté par sa faute, elle parle de pardon et de réconciliation. Pour celui qui, désespéré, ne voit plus d’issue à sa situation, elle est porteuse d’espoir et d’avenir.
Quelle joie de découvrir dans la Bible que Dieu est un Dieu qui tend la main ! « Où est Dieu ? », s’interrogent beaucoup quand le deuil, le malheur, le désespoir les atteignent. Il n’est pas loin de chacun de nous ! Il n’est pas, en tout cas, un Dieu qui se détourne ou qui, du haut de son ciel, nous toise d’un regard cynique ou indifférent.
Ce qu’il attend pour intervenir et nous venir en aide, c’est notre appel, notre cri vers Lui. Sa main, dit la Bible, n’est jamais trop courte pour sauver, ni son oreille trop dure pour entendre.¹ Par Jésus-Christ, la main tendue de Dieu est venue jusqu’à nous. Jamais, dans aucune situation, Jésus ne s’est montré à court de ressources. Toujours, ceux qui ont fait appel à lui dans leurs détresses ont été secourus.
Ne serait-ce pas pour vous le temps de mettre votre main dans la main tendue de Dieu pour votre salut ?
Gilles Georgel
1 Ésaïe 59.1
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Lecture proposée : Psaume 18.17-20.