Mais pourquoi donc fuir Dieu ?

Acceptez mes exigences et laissez-vous instruire par moi, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme.
Matthieu 11.29

Nous n’avons jamais vu de cigognes dans notre village. Surprise, en voilà treize dans les prés ! Chaque nuit, elles sont perchées sur nos toits.
Soir de tempête. J’observe, impuissant, la lutte désespérée d’un échassier pour ne pas être emporté par le vent. Combien j’aimerais proposer un abri sous notre hangar à ce volatile et à ses congénères ! Deux obstacles de taille : la cigogne ne comprend pas ma langue, et elle se méfie des humains !
Dans les tempêtes de nos vies, oh combien Dieu aimerait s’approcher et nous secourir ! Les deux mêmes obstacles me semblent empêcher bien des êtres humains de bénéficier de ce secours de Dieu :
Prêtons-nous attention au langage de sa belle Création ?1 À celui de ses actes de bonté à notre égard ?2 Sondons-nous sa Parole, pour y découvrir son plan parfait pour nous ?3
Si nous négligeons ces démarches élémentaires, il y a de fortes chances que nous ne comprenions pas la langue de notre Créateur, et donc, que nous le supposions opposé à nous et à notre bonheur.
Or, notre Père céleste brûle du désir de nous rendre heureux, de nous mettre à l’abri de sa juste colère (à cause de nos péchés), et de nous recevoir comme ses enfants (à cause de Jésus-Christ !). Et si nous lui faisions totalement confiance ?

Claude Schneider

1 Romains 1.19-21          2 Romains 2.4          3 Actes 10.36

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Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 13, versets 22 à 34.

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