Quand on découvre tes paroles, c’est la lumière : et les gens sans détour y trouvent le discernement.
Psaume 119.130
Le Voynich est un manuscrit vieux de plusieurs siècles. Pas de titre, pas d’auteur, pas de date, écriture inconnue, inventée ou codée et dessins nébuleux. Son énigme résiste au temps et à la science. La question de savoir s’il s’agit d’une œuvre majeure indéchiffrable ou d’un canular, si son auteur était un esprit supérieur ou un être dérangé n’a jamais pu être tranchée. Même si les études scientifiques les plus récentes plaident en faveur d’un véritable message, au sens toujours caché. Plusieurs de ceux qui ont tenté de décrypter ce document vieux de plusieurs siècles sont devenus fous. William Friedman, qui décrypta les codes de l’armée japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale se cassa les neurones sur le Voynich.
Il en va différemment avec le livre que Dieu a destiné aux hommes. Si lui ne contient aucun dessin, le dessein de Dieu pour l’humanité y est clairement exposé.
On a du mal à saisir la motivation de l’auteur du Voynich, si ce n’est de cultiver son ego en ayant réussi à pondre un livre sur lequel les esprits les plus éclairés se casseront les dents. La Bible, quant à elle, même si elle contient quelques passages énigmatiques, a au cours des siècles rendu beaucoup plus de gens sages que fous ou perplexes. Dieu y parle clairement.
Claude Siefert
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Lecture proposée : Livre du Deutéronome, chapitre 30, versets 11 à 14.