À cause de la progression du mal, l’amour du plus grand nombre se refroidira, mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé.
Matthieu 24.12-13
Le Tour de France 2019 s’est terminé aujourd’hui à Paris. Les coureurs ont « avalé » environ 3300 km sous une chaleur épuisante.
Quelques-uns ont abandonné. Mercredi, deux d’entre eux s’étaient fait exclure pour mauvais comportement… Jeudi, à 80 km/h, deux autres ont chuté ; ils se sont relevés, ont changé de vélo et sont repartis pour rattraper le peloton qui ne les attendait pas. J’admire ! Le Colombien Egan Bernal a gagné ce Tour… parce qu’il a surmonté toutes les difficultés et qu’il a roulé jusqu’au bout de la dernière étape.
Ces cyclistes nous parlent de course, de course menée à son terme, de persévérance.
Notre vie ressemble à une longue course. Quand Jésus répond aux disciples à propos de la fin des temps, il les avertit : des difficultés croissantes se dresseront dans la vie de ceux qui croient en lui, des difficultés propres à les décourager. Plusieurs même le renieront. Mais ce qui importe, c’est de persévérer avec foi.
Avez-vous cru en Jésus-Christ ? Alors, sans faiblir, allez jusqu’au bout de la course, veillez à l’aimer toujours ! Et ce ne sera pas en vain : à son retour, le salut est promis en sa présence à tous ceux qui auront persévéré… jusqu’à la fin.
Albert Lentz
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Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 24, versets 1 à 14.