Quel genre de joie ?

Voici (le veau d’or) ton dieu, qui t’a fait sortir du pays d’Égypte […]
Le peuple s’assit pour manger, boire… et se leva pour se divertir.

Exode 32.4, 6

Dans l’opéra Faust, il est chanté : « Le veau d’or est toujours debout », et concernant ce qui s’en suivit : « Et Satan mène le bal… ».
Comme par le veau d’or de l’époque, on cherche toujours à remplacer Dieu. Le créateur a fait de belles choses, depuis notre esprit et notre corps, merveilles d’ingéniosité pour jouir de la vie, s’adapter, se défendre, jusqu’aux splendides spectacles de ce qui nous entoure : paysages, faune, flore…
Mais on met Dieu de côté. Plus personne à qui rendre des comptes, plus de dignité – celle que confère le fait d’être créatures d’un Dieu si grand. Il faut profiter, s’amuser : Mangeons et buvons car demain nous mourrons 1.
Vouloir s’affranchir du seul Dieu vrai que la Bible présente, remonte à l’antiquité, au seuil de l’humanité. C’est le péché. Où va le monde après des millénaires de cet esprit d’indépendance ? Les informations relatent les graves dangers qui le guettent, et la triste litanie des crimes qui s’y déroulent. Satan mène-t-il tous les bals ?
Non ! Dieu a agi, au final ses plans se réaliseront. Il nous a donné Jésus-Christ qui a vaincu Satan. Il sauve, fait lever l’espérance, et redonne la dignité d’enfant de Dieu à ceux qui viennent à lui. Voulez-vous la pseudo joie éphémère d’un bal sans Dieu, ou la vraie joie, éternelle, venant de son amour ?

Francis Rivère

1 Ésaïe 22.13

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Lecture proposée : 1ère Lettre de Pierre, chapitre 1 versets 14 à 21.

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