Le règne de ce peuple est éternel, et toutes les puissances du monde le serviront et lui obéiront.
Daniel 7.27
Le 3 juillet 1938, le Premier ministre britannique Arthur Neville Chamberlain a déclaré : « Dans une guerre, quel que soit le camp qui puisse se déclarer vainqueur, il n’y a pas de gagnant, il n’y a que des perdants. » Directement ou indirectement, la Seconde Guerre mondiale a causé la mort de soixante millions de personnes. Tous ceux-là, quel qu’ait été leur camp, ont été perdants, ainsi que toutes leurs familles qui ont manqué d’un père, d’un fils, d’un frère.
Je connais toutefois une guerre où il y a eu des gagnants. Elle a été livrée par un seul homme mais a entraîné la libération de millions d’autres sur plus de vingt siècles. Le chef des perdants a d’abord semblé gagner, mais a finalement été battu à plate couture. Le gagnant s’appelle Jésus-Christ. Il est venu sur la Terre, il s’est incarné. Il a affronté les puissances du mal réunies sous l’autorité de son adversaire, le diable. Et il les a vaincues. Comme un général romain le faisait à son époque, il a livré en spectacle ses ennemis vaincus.¹
Avec quelles armes ? Une croix en bois. Avec quelles munitions ? Sa vie livrée en sacrifice. Avec quelle issue ? Sa résurrection.
N’en déplaise à Chamberlain, le camp de Jésus-Christ a été déclaré vainqueur, et il y a eu beaucoup de gagnants. Mais en faites-vous partie ?
Jean-Louis Théron
1 Colossiens 2.15
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Lecture proposée : Livre de l’Apocalypse, du chapitre 21, verset 22, jusqu’au chapitre 22, verset 5.