Au milieu de la place de la ville et sur les deux bords du fleuve, se trouve l’arbre de vie. […] Les feuilles de l’arbre serviront à la guérison des nations.
Apocalypse 22.2
En février 2021, le président de la Confédération Suisse, Ignazio Cassis, a planté un arbre à Bamako, au Mali. Ceci pour perpétuer le souvenir d’une missionnaire helvétique, Béatrice Stöckli, prise en otage par les combattants islamistes, puis exécutée en 2021. La plantation de ce petit arbre est synonyme de vie : l’arbre grandira au cours des années en mémoire de cette martyre pour sa foi.
Il peut nous rappeler un autre arbre de vie, celui du paradis perdu¹ et retrouvé, dont nous parle la Bible dans ses premières et dernières pages.
Depuis Adam et Ève, nous avons perdu l’accès à cet arbre à cause de la rupture de relation entre la créature et son Créateur. Mais pour accéder à nouveau à l’arbre de vie du paradis, il existe un autre arbre incontournable, la croix du Christ-Jésus. Là, le seul homme sans péché a souffert la malédiction et la mort pour la rémission de nos fautes et la guérison de nos âmes². Dès aujourd’hui, par la puissance de sa résurrection, il accorde une vie nouvelle à tous ceux qui croient en lui.
Ainsi peut commencer en nos cœurs la guérison des nations, en changeant le racisme en fraternité, la haine en amour, par la lumière de la bonne nouvelle de Jésus-Christ révélée dans le Nouveau Testament.
Reynald Kuffer
¹ Genèse 2.9
² 1 Pierre 2.24-25
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Lecture proposée :
Livre de l’Apocalypse, chapitre 22, versets 1 à 16.