Le jour où tu en mangeras, tu mourras.
Genèse 2.17
Dieu n’a jamais contraint les hommes à accomplir sa volonté. Dès le début de la création, il leur a révélé sa volonté en avertissant toutefois des conséquences qui découleraient de leur désobéissance. Après avoir créé l’homme, il le plaça dans le jardin d’Éden. Il mit à sa disposition une nourriture abondante en lui précisant qu’il pouvait manger de tous les arbres du, jardin.
Une seule interdiction énoncée très clairement : Tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal.¹ En cas de désobéissance à cette parole de Dieu, suivrait en conséquence un jugement sévère qui briserait cette vie harmonieuse, ainsi que la communion de l’homme avec son Créateur : le jour où tu en mangeras, tu mourras.
Malheureusement, c’est ce qui est arrivé. Falsifiant l’ordre de Dieu, Satan a réussi à semer le doute dans le cœur de la femme qui entraîna l’homme dans sa désobéissance. C’est ainsi que le péché est entré dans le monde. En obéissant à Satan, ils.ont désobéi à Dieu. Ils ne connurent pas tout de suite la mort physique, mais la mort spirituelle qui par la suite s’est étendue sur tous les hommes.
Mais Dieu n’a pas abandonné les hommes pour autant : il leur a fait une promesse qui se réaliserait au moment voulu. Un Sauveur viendrait…²
Jack Mouyon
¹ Genèse 2.17 ;
² Genèse 3.15
__________________
Lecture proposée :
Livre de l’Ecclésiaste, chapitre 12, versets 15 et 16.