L’Éternel Dieu prit l’homme et l’établit dans le jardin d’Éden pour le cultiver et le garder.
Genèse 2.15
Nous sommes tous témoins des conséquences désastreuses des activités humaines sur notre planète Terre : surexploitation des ressources naturelles, pollution des terres, des mers et de l’atmosphère, disparition de nombreuses espèces animales et végétales, réchauffement climatique et les catastrophes qu’il induit… La survie même de l’humanité est en jeu !
De plus en plus de voix s’élèvent pour rappeler que l’homme lui-même est partie prenante de la nature et qu’il ne peut s’affranchir de ses lois sans menacer son propre avenir. Certains courants de pensée poussent la logique jusqu’à dénier à l’humanité des droits supérieurs aux autres créatures. Les mammifères, les oiseaux, les poissons, les insectes et même les bactéries auraient tout autant que l’homme droit à la vie et au respect… On en vient à magnifier Mère Nature, à lui attribuer un statut de divinité à l’image des anciens cultes païens.
La Bible nous montre clairement que Dieu est distinct de sa création. Il n’a pas placé l’homme sur la terre pour qu’il l’exploite et la saccage mais au contraire pour qu’il la cultive et la garde. Il a fait de lui son intendant ou son gérant, et non un propriétaire qui n’a pas de comptes à lui rendre. Chacun de nous est donc responsable sous le regard de Dieu de la façon dont nous protégeons et gardons la création
Bernard Grebille
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Lecture proposée :
Livre de la Genèse, chapitre 2, versets 7 à 15.