L’impératif

Il dit à la neige : Tombe sur la terre ! Il le dit aussi à la pluie, même aux plus fortes pluies.
Job 37.6

Lors d’un jeu télévisé, un candidat devait répondre à cette question : « A quel mode, le verbe “pleuvoir” ne peut-il être conjugué ? » La réponse était le mode impératif. L’impératif est le mode utilisé dans le langage pour donner des ordres. Le fait que le verbe « pleuvoir » ne peut être conjugué à l’impératif est facilement compréhensible. Aucun être humain n’a le pouvoir d’ordonner à la pluie de tomber sur terre. Cette prérogative revient à Dieu seul.

Il est un homme qui, pourtant, a commandé aux éléments déchaînés. C’est Jésus. Alors qu’il dormait dans une barque secouée par une tempête, Jésus fut réveillé par ses compagnons effrayés. Il se leva, menaça les vents et il y eut aussitôt un grand calme¹. Jésus utilisa l’impératif pour donner un ordre au vent, et le vent obéit.

L’Écriture atteste de bien des manières que Jésus est à la fois Dieu et homme. Son autorité sur les forces de la nature en est une preuve. La parole de Jésus équivaut à la parole de Dieu. Il ordonne et la chose se produit.

La mesure de confiance que nous avons dans une personne tient, en grande partie, à la fiabilité de sa parole. Ici, nous n’avons pas besoin de craindre que Jésus nous déçoive. Chacune de ses paroles est éprouvée, sûre. Ses promesses sont certaines. Qu’attendez-vous pour croire en lui ?

Gilles Georgel

¹ Matthieu 8.23-26

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Lecture proposée :
Évangile selon Matthieu, chapitre 8, versets 5 à 10.

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