L’amour, la clé

Jésus dit : « Je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui… »
Apocalypse 3.20

Certaines portes sont fermées à double tour. Pas seulement celles des bâtiments !
Avec certains de mes amis, je peux parler de tout sauf de celui qui est le plus important à mes yeux, Jésus-Christ. Verrouillés, ils ont été gravement déçus par la « religion ». Je les comprends un peu, et cela m’attriste beaucoup.

Naufragés de la religion, ou simplement indifférents, leurs excuses sont-elles valables pour autant ? Car sur l’hypocrisie religieuse, Jésus en connaît un rayon. C’est en partie ce qui l’a amené à la croix. Oh, si mes amis pouvaient comprendre qu’il est de leur côté !

Et, de fait, Jésus frappe à leur porte et aux nôtres, courtoisement, sans s’imposer. Il nous connaît mieux que nous-mêmes nous connaissons. Il a le code, la clé d’activation, de chacune de nos vies, que nous le voulions ou non. Sa clé, c’est l’amour, et en creux, il y a la croix. Par amour, Jésus est mort sur la croix pour nous sauver si nous croyons en lui.

Pour nous tous, il a la clé. Mieux, il EST la clé. Il nous suffit de lui en autoriser l’accès !

Francis Schneider

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Lecture proposée :
Apocalypse, chapitre 3, versets 14 à 22.

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