Dieu leur envoie une puissance d’égarement pour qu’ils croient au mensonge afin que soient jugés ceux qui n’ont pas cru à la vérité, mais ont pris plaisir à l’injustice.
2 Thessaloniciens 2.11-12
Les uns achètent des billets de loterie le vendredi treize ; d’autres refusent de se trouver treize à table. Treize, un porte-bonheur ou un porte-malheur ?
J’ai été consterné d’apprendre que le vol de l’avion que devait prendre aujourd’hui, vendredi treize, un être cher a été supprimé. Je suppose que le nombre de gens qui n’avaient aucune crainte était trop restreint pour justifier le vol.
Mais il y a plus : bien des hôtels n’ont pas de chambre 13 et certaines rues n’ont pas de maison portant ce numéro !
Je ne vous apprendrai rien si je vous dis que la superstition est partout. Comment expliquer un tel manque de sérieux ? On a mis Dieu au rancart. On n’y croit plus, on est au-dessus de ça, bien sûr ! Alors, il reste à croire à des balivernes.
Le refus de la vérité entraîne la foi au mensonge. La superstition est ce que propose Satan à ceux qui rejettent l’Évangile. Il s’agit d’une puissance occulte dont ils deviennent les esclaves, un aveuglement spirituel qui va croissant.
Mais la bonne nouvelle demeure : il est toujours possible de tourner le dos aux suggestions de l’adversaire de Dieu, de confesser les démarches et les attitudes occultes pour se laisser éclairer par la lumière merveilleuse du Christ.
Richard Doulière
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Lecture proposée : 2ème lettre aux Thessaloniciens, chapitre 2, versets 7 à 12.