Nous ne savons que faire, mais nos yeux sont sur toi.
2 Chroniques 20.12
Le 2 décembre 1965, un verdict de mort pesait sur moi. Les médecins venaient de conclure que j’avais un cancer déjà avancé. Mes proches venaient de l’apprendre. Or, ce soir-là, en décrochant le feuillet du calendrier évangélique, ils lurent le verset de l’en-tête et la méditation suivante :
« Il est indéniable que parfois d’impénétrables mystères nous assaillent. Alors, nous nous débattons dans la nuit. Nous ne comprenons plus : l’épreuve est là ; imprévisible, elle nous atteint. C’est un accident terrible qui nous prive de la présence d’un bien-aimé. C’est une maladie pernicieuse qui mine la santé d’un membre de notre famille ou qui nous oblige à interrompre pour longtemps notre activité. C’est un problème de vie lancinant qui brise nos énergies et nous jette dans une situation grave.
Que faire ? Ô précieuse parole qui nous donne la réponse ! Dans une situation désespérée, le peuple de Juda, incapable de retrouver son équilibre par ses propres moyens, tourna ses regards vers l’Éternel. Et la frayeur disparut, la confiance revint, la délivrance aussi avec la paix intérieure. Pour vous aussi, chers lecteurs, quand vous le voudrez. »
Ce feuillet galvanisa la foi de mon épouse. Ce soir même, Dieu l’avait encouragée puissamment et de façon aussi précise. Et en effet, il m’accorda une pleine et merveilleuse guérison.
Avec Dieu, il n’y a pas de hasard ! À Lui en soit la gloire !
Lucien Clerc
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Lecture proposée : Évangile selon Marc, chapitre 16, versets 15 à 20.