Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et mon âme le reconnaît bien.
Psaume 139.14
À la fin des vacances, je croise en ville une amie accompagnée de sa fille de trois ans. C’est à la veille de la rentrée des classes. Pendant que nous échangeons des nouvelles, la petite, avec ses yeux écarquillés et son petit corps qui se tortille de bonheur, me dit : « Moi, je vais à l’école ! » Le visage de l’enfant me renvoie son émerveillement !
Ravissement, enthousiasme, étonnement s’estompent parfois en vieillissant. L’esprit de gratitude disparaît aussi. La vie perd de sa saveur… Mais, Jésus-Christ réveille toutes ces facultés !
Primo : l’émerveillement, car Jésus offre des choses plus grandes que notre monde matérialiste. Il donne au croyant d’infinies raisons de se réjouir : le pardon de ses fautes, la paix du cœur, un salut parfait et définitif de son âme.
Secundo : nous retrouvons un esprit de reconnaissance quand nous réalisons que nous sommes issus, non du hasard de l’évolution, mais du fruit de la volonté du Créateur.
Tertio : dans une relation privilégiée avec Dieu, la vie reprend sens et valeurs. Au fait d’être adopté par le Christ s’ajoutent l’enthousiasme d’être aimé de lui et l’espérance de la félicité éternelle.
Quel contraste avec ceux qui nous proposent le néant comme destinée ! Nietzsche et tous ses apôtres pessimistes auraient dû lire le psaume 139 écrit par le roi David, il y a 3000 ans…
Dominique Moreau
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Lecture proposée : Psaume 139.