Mon âme, bénis l’Éternel !
Psaume 103.1
David vivait dans la reconnaissance envers Dieu. Ses Psaumes, comme celui-ci, le prouvent. Mon âme, bénis l’Éternel. Que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom… N’oublie aucun de ses bienfaits. Sa reconnaissance, David la décline ici de façon précise :
– C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités (verset 3).
Le pardon de Dieu est pour lui ce qu’il y a de plus précieux. Ce devrait être la première source de notre reconnaissance. Sans le pardon de Dieu, comment pourrions-nous être au bénéfice de sa grâce ?
– C’est lui qui guérit toutes tes maladies (verset 3).
Il y a un lien évident entre pardon et guérison. D’abord spirituelle, elle permet aussi au Seigneur d’intervenir dans notre corps.
– C’est lui qui délivre ta vie de la fosse (verset 4).
Quelle grâce faite au pécheur pardonné ! Il échappe à la déchéance spirituelle et morale qui est toujours source de malheur et de destruction.
– Il te couronne de bonté et de miséricorde (verset 4).
Quel privilège d’être assuré de la bénédiction divine durant notre vie ! Comment ne pas rendre grâce pour tant de bienfaits accordés, alors que nous ne les avons pas mérités ?
– C’est lui qui rassasie de biens ta vieillesse, qui te fait rajeunir comme l’aigle (verset 5).
Dieu n’oublie jamais ses enfants. Sa bénédiction leur est assurée jusqu’à la fin de leur vie terrestre et pour l’éternité. Alors, ne négligeons pas la reconnaissance !
Yves Perrier
__________________
Lecture proposée : Psaume 103, versets 1 à 13.