Celui qui avoue ses fautes et les délaisse obtient miséricorde.
Proverbes 28.13
La maman de la petite Marie l’a envoyée cueillir des fraises au jardin pour le repas de midi, avec des invités. Voyant qu’elle tarde à rentrer, elle appelle sa fillette : « Marie, Marie, viens vite, nos invités vont bientôt arriver ! » Au jardin, Marie a commencé à remplir son panier, mais elle a goûté une fraise, puis une autre… C’est si bon ! Quand sa maman l’appelle, elle est obligée de rentrer, le panier bien peu rempli.
– Marie, as-tu mangé des fraises ?
– Non ! il n’y en avait pas beaucoup.
Le regard de Maman se fait grave :
– Marie, je suis très triste, car tu dis un mensonge. Je dois te punir. Tu ne mangeras pas avec nous, je vais te mettre au lit.
À l’âge de quatre ans, je me sentais concernée par l’histoire de Marie : comme elle, je ne disais pas toute la vérité et j’étais gourmande.
Est-ce que nous sommes comme elle, faisant tout pour cacher nos fautes ou pour paraître ce que nous ne sommes pas ?
Si c’est vrai, voici la bonne nouvelle : Le sang de Jésus, notre Sauveur, nous purifie de tout péché et Dieu pardonne toutes les fautes que nous lui confessons.1
Dorothée Bonnal
1 1 Jean 1. 7, 9
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Lecture proposée : 1ère lettre de Jean,chapitre 1, versets 5 à 10.