Substitution

Alors que nous étions encore des pécheurs, le Christ est mort pour nous.
Romains 5.6

Au temps des guerres napoléoniennes, le recrutement de l’armée se faisait par tirage au sort. En tirant un bon numéro, on était dispensé du service militaire. Sinon, on devait partir à la guerre. Mais on pouvait se faire remplacer, généralement contre paiement.
C’est ce qu’a fait un jeune homme et… son remplaçant est mort dans une bataille ! À quelque temps de là, nouvelle conscription. Notre homme tire encore le mauvais numéro. Réaction :
– Ah non ! on ne peut pas me prendre : je suis mort !
– Comment ? C’est une farce ?
– Non, j’ai été remplacé par un homme qui est mort à la bataille ! 
L’affaire est remontée jusqu’à l’empereur, qui a donné raison au jeune homme : il a accepté jusqu’au bout le principe de la substitution.
L’apôtre Paul écrit : Celui qui était innocent de tout péché, Dieu l’a condamné comme un pécheur à notre place pour que, dans l’union avec le Christ, nous soyons justes aux yeux de Dieu.1 Et c’est là qu’intervient notre attitude : la substitution doit être validée par notre foi ! Jésus n’est mort que pour les hommes qui placent leur confiance en lui. Ainsi, le chrétien sait qu’il échappe à la mort éternelle uniquement parce qu’il croit que le Christ a déjà payé pour ses péchés.
Croire… c’est simple, mais l’avez-vous fait ?

Alfred Kuen

1 2 Corinthiens 5.21

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Lecture proposée : 2ème lettre aux Corinthiens, chapitre 5, versets 14 à 21. 

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